Traitement des frelons asiatiques
Comme son nom l’indique, le frelon asiatique n’a rien à faire en France ! Il est responsable de nombreuses attaques sur les espèces locales et en particulier les abeilles. C’est un nuisible que nous nous devons d’éradiquer sur le territoire car il n’y est naturellement pas présent. Le géo-climat lui convient et surtout, il n’a aucun prédateur naturel raison pour laquelle il prolifère autant.
Les risques des frelons asiatiques
Sanitaires
Il est dangereux pour l’Homme, même sans allergie. Très agressif et territorial, il ne faut surtout pas tenter de s’occuper d’une ruche soit même. La violence de son réflexe de défense en fait un insecte extrêmement dangereux car lorsqu’il réagit c’est l’essaim entier qui attaque soit une centaine voir des milliers d’individus. On recense une dizaine de morts par an en France (des réactions allergiques mais pas seulement).
De plus, ces hyménoptères sont également dangereux pour la biodiversité. Leurs nids peuvent compter plusieurs milliers d’individus, ils s’attaquent donc à tous les insectes pour nourrir les nombreuses nymphes. Ils pillent les ruches. Ils attendent devant et tuent les abeilles qui en sortent. Les dégâts vont de 30 % à 60 % de ruches en moins selon les endroits.
Financiers
Les frelons asiatiques causent des dégâts importants dans les vergers où ils dévorent les fruits en grandes quantités. Ces derniers construisent leur nid dans la cime des arbres ou derrière les volets ce qui peut endommager certaines installations.
De plus, la présence d’un essaim à proximité de votre établissement peut être une source d’ennuie et faire baisser la fréquentation, surtout pour les parties exterieures.
Les solutions Tribor3D
Le traitement
Les équipes de Tribor3D utilisent une perche télescopique afin d’injecter de l’insecticide. Le nid est ensuite prélevé et détruit pour éviter que l’insecticide ne soit consommé par les oiseaux ou diffusé dans l’environnement. Si le nid est accessible, il est possible de le détruire sans insecticide à la tombée de la nuit, en bouchant le trou d’entrée avec du coton, puis en enfermant le nid dans un sac avant de le détacher et de tuer la colonie par congélation.